Les Makeuses causent - épisode 4 : Isabelle Akasha Tatouage (partie 2)

par Les Makeuses | Les Makeuses causent

Bonjour les Makeuses,

Chose promise, chose due, voici la deuxième partie de l’entretien avec Isabelle, artiste tatoueuse à Bagnères-de-Bigorre. Nous nous étions quitté.e.s sur les rencontres fortes qu’Isabelle a fait dans son salon. La deuxième partie débute donc sur les difficultés de laisser ce type de travail sur le palier quand on rentre à la maison.

Tout comme dans la première partie, Isabelle s’est livrée sans filtre et, en l’écoutant à nouveau, je me suis rendu compte à quel point ça fait du bien de sortir de la langue de bois de l’entrepreneuriat de la réussite parfaite à la sauce Instagram. Vous me direz si ça vous a fait le même effet 😉

Quelques repères chronologiques : 

  • 0’54 : vie de famille et travail. Réussir à faire une vraie coupure entre le travail et la maison est un véritable challenge même si on se fixe des règles.
  • 9’37 : le burn-out. Comment on y rentre, bien plus facilement qu’on le croit et comment Isabelle a trouvé le moyen d’en sortir.
  • 15’35 : la créativité. Comment éviter la panne sèche s’inspiration. Pour Isabelle, c’est assez simple : “Ma muse, c’est mes clients”.
  • 21’00 : l’évolution de sa pratique. L’intégration de l’énergétique, la biodynamisation des encres, … Un autre regard sur le monde du tatouage.
  • 31’24 : petit point communication. Isabelle possède un site internet et est présente sur les réseaux sociaux. Instagram et le “pouvoir du hashtag”, et Facebook où elle a choisit d’exprimer librement ses idées et ses opinions. L’occasion de parler de son image public et de sa façon de la gérer.
  • 40’31 : le moment love. Une déclaration d’amour à ses clients.
  • 43’00 : la concurrence. Isabelle porte un regard intéressant sur ses confrères et consoeurs qu’elle refuse de voir comme des concurrents.
  • 47’00 : les tatoueuses de la région et au-delà. 
  • 52’50 : le traditionnel message de la Makeuse à celle qu’elle était en se lançant dans l’entrepreneuriat.
  • 56’15 : le mot de la fin, un bel hommage aux femmes.

Bonne écoute 🙂